«Dieu n'a pas créé l'univers»
C'est ce qu'affirme l’astrophysicien britannique Stephen Hawking dans un nouveau livre.
Liraration.fr
5 – 9 – 2010
Commentaire
Dieu existe comme mensonge et action télépathique.
Dieu n’est qu’un masque ancien, une créature mensongère et illusoire. Il est illogique qu’une fiction ou tromperie, une imagination ou folie soit la cause de l’existence de l’univers ou l’origine du Big Bang. Dire qu’un dieu ou un diable ou encore un ange en est responsable de près ou de loin est une moquerie, une ironie, une dérision, un délire, ou tout simplement un symptôme de pathologie mentale. Dieu n’existe que dans les boites crâniennes de ceux qui l’imaginent et / ou le fabriquent par télépathie pour des quelques uns et par abêtissement scolaire pour quelques autres. C’est une existence d’un secret de Polichinelle, un secret que tout le monde connait et dont l’essence et le fondement ne sont rien d’autre qu’un certain esclavagisme socio-politique. La notion de Dieu, la définition des anges et des diables, la réalité des miracles et la métaphysique sont le domaine primordial de transparence socio-politique et de lutte contre la corruption appelée occultisme ou ésotérisme. Cette vision naturelle du monde, base élémentaire du rationalisme, ne demande d’aucune manière une démonstration mathématique ou une argumentation par les disciplines de la physique théorique ou pratique. Elle est le bon sens de monsieur tout le monde, une évidence de la véracité et la crédibilité. Personne n’a besoin d’un témoignage supplémentaire ou d’une affirmation de plus pour vérifier et démontrer cette évidence. On ne va pas quand même chercher cela chez l’astrophysicien britannique Stephen Hawking ou chez d’autres scientifiques ou philosophes de la science. Il suffit d’être libre et sincère, conscient et sérieux pour être athée, c’est-à-dire vivre et agir selon la règle logique que les dieux et les religions sont de l’imagination archaïque et de la fiction caduque. Rien n’est plus simple, heureux et naturel que respecter la vérité et l’appliquer ni plus ni moins. Par contre, rien n’est plus ridicule, triste et contradictoire que bâtier des lois sur des mensonges ou fonder un ordre public sur des démagogies et des supercheries. Le choix est clair, rapide et certain entre ces deux voies. Ce bon choix, la voie éthique, est ce qu’on appelle démocratisation du rationalisme ou rationalisation de la démocratie.
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