Encerclé par la police dans une manif comme si vous y étiez
Libération.fr
22 – 10 – 2010
Commentaire
Des idiots à la recherche de n'importe quelles sensations fortes
Les manifestations pour la démocratie, la transparence, la liberté et la justice doivent être protégées contre les idiots qui sont à la recherche de n'importe quelles sensations fortes. Les casseurs et les policiers qui se partagent la sauvagerie en quête des pulsions d'adrénaline sont complices dans leurs affrontements et dans les dégâts qu'ils infligent conjointement à la société. Il vaudrait que ces idiots des deux bords se contentent tout simplement de se déchainer dans l’applaudissement et les hurlements dans des stades sportifs et les particulièrement les matchs de football et les spectacles de combats. Pour ces gladiateurs et leur public, le déchainement sur les gradins des stades est plus approprié et plus excitant que de se filmer dans les multiples et divers sites de Beautiful Agony ( sites de Beautiful Life si on est le personnage filmé en action, mais sites d’idiotie, parasitisme et stupidité si on n’est que spectateur). Je pense même que c'est, en bonne grande partie, à cause de leurs tabous et refoulements qu'ils essayent bêtement de se défouler dans les grèves syndicales et les manifestations politiques. Ils le font en totale complémentarité comme casseurs ou comme agents d'ordre public. Ces casseurs sont des opprimés affolés par des lois irrationnelles et des dogmes illogiques. Ces agents sont des outils qui défendent une criminalité organisée et qui servent ainsi un populisme et une corruption populaire. Si c’est vrai, et je le pense, on devrait souligner par exemple que les gens complexés vis-à-vis l’orgasme, sens de Beautiful Agony/ Beautiful Life, ne doivent en aucun cas et d’aucune manière toucher à la politique ou à ses militants. Cette interdiction ne se limite pas forcément et toujours de la moquerie, du fantasme ou de la caricature. Elle pourrait être parfois utile dans la prévention contre la violence, le vandalisme et le sabotage et dans l’élimination des casseurs et leurs complices policiers. Il va de soi que les humoristes ont beaucoup à dire dans ce sujet. L’ironie est d’une importance capitale en ce sens et pour cet objectif.
http://www.lesarchivistes.net/?tag=beautiful-agony
vendredi 22 octobre 2010
Le BANCOR est une nécessité monétaire et financière mondiale urgente
G20: Washington appelle à une réforme des changes des pays excédentaires
MSN 22 – 10 – 2010
Commentaire
Le BANCOR est une nécessité monétaire et financière mondiale urgente
La solution la plus adéquate à plusieurs problèmes financiers mondiaux actuels est la mise en place d'une monnaie mondiale. Des économistes et d'autres experts internationaux ont appelé depuis des dizaines d'années à ce que cette monnaie, le BANCOR, soit un dénominateur commun essentiel et fondamental des échanges commerciaux à l'échelle internationale.
On peut citer à titre d'exemple cet excellent texte de Michelle de Mourgues, une professeur à l'Université de Paris II dans les années 1980 qui a participé à un séminaire académique international le 27 et 28 avril 1983 à Sfax en Tunisie:
« La proposition de Keynes (John Maynard Keynes, économiste britannique 1883 - 1946) d'une monnaie internationale reposait sur un principe très simple. Une banque internationale devait à l'échelle du monde jouer le même rôle qu'une banque commerciale à l'échelle d'un pays. Mais pour éviter la perversion du processus monétaire international, cette monnaie ne devait pas pouvoir être thésaurisée, ce qui devrait éviter son développement excessif. J’énumérerais brièvement cinq principes :
1 – Keynes part de l’idée que le financement des échanges internationaux comme celui d’une entreprise est un processus normal. Il faut mettre les pays en situation de s’enrichir et de se développer avant d’exiger d’eux qu’ils s’équilibrent ou même fassent des bénéfices. De même que les banques commerciales offrent leurs services aux entreprises qui se créent, une banque internationale a pour vocation d’offrir ses services aux pays jeunes et peu développés, ou en déséquilibre momentané.
2 – Un pays excédentaire qui thésaurise ses excédents a un comportement aussi déséquilibrant qu’un pays qui accumule des déficits. Ceci et cela vont d’ailleurs de pair. Si le premier a acquis une situation de domination et qu’il se contente d’accumuler des réserves dans caves de sa banque d’émission, il est lui-même l’agent du déficit des autres pays. Le système de monnaie internationale ne doit pas l’encourager dans cette attitude.
3 – Une banque internationale doit rassembler plus à une banque commerciale qu’à une banque centrale. Le recours à ses services n’est pas obligatoire ; les pays le font en fonction de l’intérêt qu’ils s’y trouvent et du service rendu. La banque obéit à des règles de bonne gestion destinées à assurer contre les risques et à inspirer confiance en la monnaie qu’elle propose. Les pays clients sont invités à se plier à une certaine règle du jeu qui consiste à éviter l’accumulation tant de déficits que des excédents.
4 – La monnaie internationale ne doit pas pouvoir être thésaurisée. Ses excédents ne doivent pas être rémunérés, bien au contraire. Les pays excédentaires sont invités au besoin par des pénalités, à diminuer leurs excédents, soit en plaçant leurs disponibilités, soit par une politique conjoncturelle de relance (choix et souplesse). Les pays déficitaires sont au contraire assurés d’une aide réglementée par des quotas et des coûts financiers et des seuils. La règle consiste à donner une certaine indépendance au pays par rapport à la contrainte externe.
Pour lui ôter tout caractère de monnaie de réserve, la monnaie internationale est inconvertible, de sorte qu’aucune possibilité de spéculation n’intervient par son intermédiaire. Elle est uniquement monnaie de transaction.
5 – Enfin, quoique nommée Banque de compensation, la banque a une véritable activité commerciale. Elle ne se contente pas de transférer aux déficitaires les excédents des autres pays, mais elle crée de la monnaie internationale en faveur des pays déficitaires, ses liquidités étant constituées par les excédents des autres pays. Toutes les fois que les pays excédentaires diminuent leurs excédents, ce sont automatiquement les pays déficitaires qui en profitent, et la liquidité de la Banque internationale n’en est pas affectée.
L’avantage de ce système est que le développement des liquidités internationales peut être contrôlé. Le circuit de monnaie international est un circuit normalisé, mais qui reste rationnel.
Le mécanisme proposé par Keynes est à un double titre l’application de son analyse théorique :
- A - Parce qu’il repose sur les effets néfastes de la thésaurisation et démontre que le taux d’intérêt international est la conséquence d’une certaine préférence pour la liquidité.
- B - Parce qu’il insiste sur le rôle joué par la monnaie dans le développement des échanges et sur la nécessité pour les pays de disposer de volants monétaires indépendants même de leurs capacités immédiates.
- C - Parce qu’il a pour objet de permettre aux pays la réalisation du plein emploi et plus de liberté dans le domaine de la politique économique en assouplissant considérablement la contrainte externe.
L’avantage de ce système est très grand car étant un organisme « bancaire », il peut être assuré d’une certaine efficacité quel que soit le type de relation de coopération ou de d’antagonisme qui régit les pays… »
MSN 22 – 10 – 2010
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Le BANCOR est une nécessité monétaire et financière mondiale urgente
La solution la plus adéquate à plusieurs problèmes financiers mondiaux actuels est la mise en place d'une monnaie mondiale. Des économistes et d'autres experts internationaux ont appelé depuis des dizaines d'années à ce que cette monnaie, le BANCOR, soit un dénominateur commun essentiel et fondamental des échanges commerciaux à l'échelle internationale.
On peut citer à titre d'exemple cet excellent texte de Michelle de Mourgues, une professeur à l'Université de Paris II dans les années 1980 qui a participé à un séminaire académique international le 27 et 28 avril 1983 à Sfax en Tunisie:
« La proposition de Keynes (John Maynard Keynes, économiste britannique 1883 - 1946) d'une monnaie internationale reposait sur un principe très simple. Une banque internationale devait à l'échelle du monde jouer le même rôle qu'une banque commerciale à l'échelle d'un pays. Mais pour éviter la perversion du processus monétaire international, cette monnaie ne devait pas pouvoir être thésaurisée, ce qui devrait éviter son développement excessif. J’énumérerais brièvement cinq principes :
1 – Keynes part de l’idée que le financement des échanges internationaux comme celui d’une entreprise est un processus normal. Il faut mettre les pays en situation de s’enrichir et de se développer avant d’exiger d’eux qu’ils s’équilibrent ou même fassent des bénéfices. De même que les banques commerciales offrent leurs services aux entreprises qui se créent, une banque internationale a pour vocation d’offrir ses services aux pays jeunes et peu développés, ou en déséquilibre momentané.
2 – Un pays excédentaire qui thésaurise ses excédents a un comportement aussi déséquilibrant qu’un pays qui accumule des déficits. Ceci et cela vont d’ailleurs de pair. Si le premier a acquis une situation de domination et qu’il se contente d’accumuler des réserves dans caves de sa banque d’émission, il est lui-même l’agent du déficit des autres pays. Le système de monnaie internationale ne doit pas l’encourager dans cette attitude.
3 – Une banque internationale doit rassembler plus à une banque commerciale qu’à une banque centrale. Le recours à ses services n’est pas obligatoire ; les pays le font en fonction de l’intérêt qu’ils s’y trouvent et du service rendu. La banque obéit à des règles de bonne gestion destinées à assurer contre les risques et à inspirer confiance en la monnaie qu’elle propose. Les pays clients sont invités à se plier à une certaine règle du jeu qui consiste à éviter l’accumulation tant de déficits que des excédents.
4 – La monnaie internationale ne doit pas pouvoir être thésaurisée. Ses excédents ne doivent pas être rémunérés, bien au contraire. Les pays excédentaires sont invités au besoin par des pénalités, à diminuer leurs excédents, soit en plaçant leurs disponibilités, soit par une politique conjoncturelle de relance (choix et souplesse). Les pays déficitaires sont au contraire assurés d’une aide réglementée par des quotas et des coûts financiers et des seuils. La règle consiste à donner une certaine indépendance au pays par rapport à la contrainte externe.
Pour lui ôter tout caractère de monnaie de réserve, la monnaie internationale est inconvertible, de sorte qu’aucune possibilité de spéculation n’intervient par son intermédiaire. Elle est uniquement monnaie de transaction.
5 – Enfin, quoique nommée Banque de compensation, la banque a une véritable activité commerciale. Elle ne se contente pas de transférer aux déficitaires les excédents des autres pays, mais elle crée de la monnaie internationale en faveur des pays déficitaires, ses liquidités étant constituées par les excédents des autres pays. Toutes les fois que les pays excédentaires diminuent leurs excédents, ce sont automatiquement les pays déficitaires qui en profitent, et la liquidité de la Banque internationale n’en est pas affectée.
L’avantage de ce système est que le développement des liquidités internationales peut être contrôlé. Le circuit de monnaie international est un circuit normalisé, mais qui reste rationnel.
Le mécanisme proposé par Keynes est à un double titre l’application de son analyse théorique :
- A - Parce qu’il repose sur les effets néfastes de la thésaurisation et démontre que le taux d’intérêt international est la conséquence d’une certaine préférence pour la liquidité.
- B - Parce qu’il insiste sur le rôle joué par la monnaie dans le développement des échanges et sur la nécessité pour les pays de disposer de volants monétaires indépendants même de leurs capacités immédiates.
- C - Parce qu’il a pour objet de permettre aux pays la réalisation du plein emploi et plus de liberté dans le domaine de la politique économique en assouplissant considérablement la contrainte externe.
L’avantage de ce système est très grand car étant un organisme « bancaire », il peut être assuré d’une certaine efficacité quel que soit le type de relation de coopération ou de d’antagonisme qui régit les pays… »
L’éducation au lieu de la prostitution
Faut-il rouvrir les maisons closes en France ?
MSN 22 – 10 – 2010
Commentaire
L’éducation au lieu de la prostitution
Non au proxénétisme et autres formes de criminalité organisée. Oui à l'éducation sexuelle, familiale et sociale rationnelle, démocratique et éthique. Les maisons closes n'ont rien de commun avec les libertés, et encore moins avec la protection des femmes et de l'ensemble de la société. Ces lieux d'esclavagisme moderne doivent être remplacés par des associations et organisations d'éducation sexuelle, familiale et sociale. C'est une affaire de dignité humaine pour tous et une priorité d'éthique personnelle pour des millions d'hommes et de femmes dans le monde entier qui sont concernés par ce phénomène ancestral.
MSN 22 – 10 – 2010
Commentaire
L’éducation au lieu de la prostitution
Non au proxénétisme et autres formes de criminalité organisée. Oui à l'éducation sexuelle, familiale et sociale rationnelle, démocratique et éthique. Les maisons closes n'ont rien de commun avec les libertés, et encore moins avec la protection des femmes et de l'ensemble de la société. Ces lieux d'esclavagisme moderne doivent être remplacés par des associations et organisations d'éducation sexuelle, familiale et sociale. C'est une affaire de dignité humaine pour tous et une priorité d'éthique personnelle pour des millions d'hommes et de femmes dans le monde entier qui sont concernés par ce phénomène ancestral.
En Europe du XXI siècle, est-ce encore possible ?
Les évêques polonais en croisade contre la fécondation in vitro
MSN 22 – 10 – 2010
Commentaire
En Europe du XXI siècle, est-ce encore possible ?
Ne faudrait-il pas mieux considérer les religions comme étant uniquement une ancienne forme littéraire et artistique au lieu de ce débat parlementaire avec une église ? Hors cette définition rationnelle, les religions ne sont qu'une sorte d'ignorance pour les uns et de mensonge pur les autres. Laissons les scientifiques faire leur travail pour le bien-être des peuples et le progrès du monde. Tout comme les militants politiques, sociaux et culturels, ils ne peuvent le faire de la meilleure façon que dans la liberté de la recherche scientifique dans tous les domaines sans aucun tabou ou intrusion religieuse. Les tabous et les intrusions religieuses nuisent gravement à la santé mentale individuelle et collective des gens soumis aux religions. J'espère que les religieux se débarrassent de leur parasitisme et qu'ils se libèrent de leurs obsessions
MSN 22 – 10 – 2010
Commentaire
En Europe du XXI siècle, est-ce encore possible ?
Ne faudrait-il pas mieux considérer les religions comme étant uniquement une ancienne forme littéraire et artistique au lieu de ce débat parlementaire avec une église ? Hors cette définition rationnelle, les religions ne sont qu'une sorte d'ignorance pour les uns et de mensonge pur les autres. Laissons les scientifiques faire leur travail pour le bien-être des peuples et le progrès du monde. Tout comme les militants politiques, sociaux et culturels, ils ne peuvent le faire de la meilleure façon que dans la liberté de la recherche scientifique dans tous les domaines sans aucun tabou ou intrusion religieuse. Les tabous et les intrusions religieuses nuisent gravement à la santé mentale individuelle et collective des gens soumis aux religions. J'espère que les religieux se débarrassent de leur parasitisme et qu'ils se libèrent de leurs obsessions
Loin d’être un cas isolé
L'administration Clinton a perdu pendant des mois les codes nucléaires américains
Lilération.fr
22 – 10 – 2010
Commentaire
Loin d’être un cas isolé
Cette histoire de codes secrets, dans sa version du général à la retraite Hugh Shelton tout comme dans celle de son collègue le lieutenant-colonel à la retraite Robert Patterson, est une affirmation de l’irrationalité qui est la militarisation conjuguées avec les faiblesses humaines les plus primaires. Au-delà de la particularité de cette perte momentanée du mortel « biscuit » nucléaire, la problématique est strictement d’ordre logique et profondément du domaine de l’éthique. La militarisation et la guerre sont effectivement à la fois la plus grande faiblesse humaine et le plus grave et ancien crime politique de tous les temps. Le monde civilisé moderne mérite bel et bien qu’il soit débarrassé définitivement des arsenaux et libéré totalement de ses armées. La solution à cette situation ancestrale qui est la militarisation ne peut être que mondiale. Ceci doit être la plus importante mission stratégique des gouvernements démocratiques et de leurs forces de sécurité. Il en va pour le développement et le progrès de l’humanité entière.
Lilération.fr
22 – 10 – 2010
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Loin d’être un cas isolé
Cette histoire de codes secrets, dans sa version du général à la retraite Hugh Shelton tout comme dans celle de son collègue le lieutenant-colonel à la retraite Robert Patterson, est une affirmation de l’irrationalité qui est la militarisation conjuguées avec les faiblesses humaines les plus primaires. Au-delà de la particularité de cette perte momentanée du mortel « biscuit » nucléaire, la problématique est strictement d’ordre logique et profondément du domaine de l’éthique. La militarisation et la guerre sont effectivement à la fois la plus grande faiblesse humaine et le plus grave et ancien crime politique de tous les temps. Le monde civilisé moderne mérite bel et bien qu’il soit débarrassé définitivement des arsenaux et libéré totalement de ses armées. La solution à cette situation ancestrale qui est la militarisation ne peut être que mondiale. Ceci doit être la plus importante mission stratégique des gouvernements démocratiques et de leurs forces de sécurité. Il en va pour le développement et le progrès de l’humanité entière.
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